Ce samedi 1er fevrier, une délégation de kanaques de Nouvelle-Calédonie était à Atuona, dans le cadre d’une rencontre religieuse, et je profite de ce blog pour enrichir votre culture océanienne ( et la mienne en même temps) ( donc amis néophytes ( les autres le savent bien), quand vous voyez un mot écrit en bleu , cliquez dessus, ça vous donnera d’autres informations et peut-être la réponse à des questions que vous vous posez !!!)
Nous avons assisté à des danses calédoniennes ,( et enregistré quelques informations, comme le nombre de langues et dialectes parlés là-bas )
Bon, trêve de bavardages!, voilà quelques extraits des danses que nous avons vues: le pilou.
Le pilou est une danse traditionnelle kanake qui raconte les naissances, les mariages, les cyclones et les préparatifs guerriers. Elle fut bannie par les autorités coloniales en raison des états de transe induits chez les danseurs et d’occasionnels actes de cannibalisme. Le dernier pilou eut lieu en 1951. La musique anime toutes les cérémonies traditionnelles. Elle fait appel aux conques (les trompettes du Pacifique), aux flûtes de bambou et aux instruments de percussion. Les sculptures en bois, aux formes symboliques, incarnaient jadis les esprits. La flèche faîtière, sorte de petit totem qui ornait la maison abritant les esprits des ancêtres, en est l’exemple le plus répandu.(http://www.5minutes-caledonie.com/index.php/?2007/02/28/291-cours-de-danse-kanak-improvise)
Les 2 premières danses présentées viennent de Grande Terre, la seconde partie raconte une partie de pêche.
voilà un extrait d’une autre danse : le chap , qui vient davantage des îles de la Loyauté
et un dernier extrait pour le plaisir